Introduction

Quand un mur est humide, beaucoup de propriétaires se demandent : combien de temps faut-il pour qu’il sèche ? La réponse dépend de nombreux facteurs : l’origine de l’humidité, la nature des matériaux, la ventilation et les solutions mises en place. Cet article apporte un éclairage sur les délais d’assèchement.

Les facteurs qui influencent le temps d’assèchement

1. L’origine de l’humidité

• Condensation : souvent réversible rapidement si la ventilation est améliorée.
• Infiltrations : nécessitent d’abord de supprimer la source d’entrée d’eau.
• Remontées capillaires : processus plus long, car il s’agit d’eau remontant en continu depuis le sol.

2. La nature des matériaux

• Un mur en pierre épaisse retient l’humidité plus longtemps.
• Le plâtre ou les enduits fragiles se dégradent rapidement en surface.
• La brique a une capacité d’absorption intermédiaire.

3. Les conditions extérieures

• Une maison bien ventilée et chauffée favorise un séchage plus rapide.
• À l’inverse, une cave ou un rez-de-chaussée peu ventilé prolonge la durée.

Quel rôle jouent les appareils anti-humidité ?

Les appareils des gammes ATE et ATG n’assèchent pas un mur instantanément. Leur rôle est d’agir sur la capillarité, c’est-à-dire de limiter la remontée de l’eau.

👉 Une fois cette action enclenchée, les murs commencent à sécher naturellement au fil du temps, selon leur composition et leur degré initial d’humidité.

Que faut-il retenir ?

• Le séchage d’un mur humide est progressif,
• Il peut s’étaler sur plusieurs mois en fonction des conditions,
• Les gammes ATE et ATG offrent une alternative intéressante aux travaux lourds, car elles permettent d’accompagner ce processus naturellement.

Conclusion

Il est difficile de donner une durée unique pour l’assèchement d’un mur humide, car chaque maison réagit différemment.
Ce qu’il faut retenir, c’est que le séchage est un phénomène progressif, influencé par l’origine de l’humidité, les matériaux et les conditions de la maison.

Les gammes ATE et ATG contribuent à enclencher ce processus, en agissant sur le phénomène de capillarité qui alimente les murs en eau.